Je l'ai rencontré un été de juillet,
Sagement assis sur la terrasse d'un café.
Son calme et sa simplicité,
M'avaient fascinés et émerveillés.
Tel le souffle du vent sur une frêle fleur,
Décorant les cieux et mes yeux,
Cet instant avait rempli mon coeur, d'un immense bonheur.